Dans un contexte où la sécurité routière est plus que jamais d’actualité, l’action proactive de Togbui Lanklivi Adjikou 1er, chef quartier d’Adakpamé-Kpota-Colas, mérite d’être mise en lumière.
Récemment, le chef traditionnel a pris l’initiative de faire réparer les feux tricolores au rond-point CIMTOGO, un carrefour stratégique qui régule la circulation sur la route nationale N°2, essentielle pour la mobilité à Lomé et au-delà.
Cette route nationale, qui traverse la ville, est un axe majeur pour les automobilistes, les commerçants et les piétons. Malheureusement, les feux tricolores en panne depuis près de 2 ans déjà, rendaient ce carrefour particulièrement dangereux, créant des situations de chaos et augmentant les risques d’accidents. Grâce à l’intervention directe de Togbui Lanklivi Adjikou 1er, les dispositifs de régulation ont été remis en état, permettant ainsi de rétablir un flux de circulation plus sûr et plus ordonné.
L’engagement de ce jeune leader communautaire ne se limite pas à une simple réparation technique. C’est un acte de responsabilité collective qui montre l’importance d’une action communautaire pour améliorer la sécurité routière. En finançant la remise en état des feux, Togbui Lanklivi a non seulement amélioré les conditions de circulation, mais il a également envoyé un message fort sur la nécessité de l’implication citoyenne dans la gestion des infrastructures publiques.
L’impact de cette action est palpable : les usagers de la route nationale N°2, qu’il s’agisse de conducteurs ou de piétons, bénéficient désormais d’une régulation efficace, réduisant ainsi le stress lié à la circulation et les risques d’accidents. Sur une voie où le volume de trafic ne cesse d’augmenter, chaque mesure qui contribue à la sécurité est cruciale.
Cependant, l’exemple de Togbui Lanklivi Adjikou 1er doit servir de modèle pour d’autres leaders communautaires. La responsabilité de l’entretien des infrastructures ne repose pas uniquement sur le gouvernement ; chaque citoyen a un rôle à jouer.