Dr BESSI KAMA à Banjul : « Le sport doit…»

La capitale gambienne, Banjul, a été du 20 au 22 janvier dernier, le cadre d’une réunion interministérielle de haut niveau, axée sur la gouvernance du sport en Afrique.

Sous la présidence du vice-président gambien, Mohammed B.S. Jallow, cet événement a réuni les ministres des Sports des différents pays du continent, avec un objectif central : « Renforcer la gouvernance du sport en Afrique ».

Le Togo, représenté par le ministre des Sports et des Loisirs, Dr Lidi BESSI KAMA, a joué un rôle clé lors de cette rencontre. Sa vision ambitieuse, inspirée par les orientations du Président Faure Gnassingbé, a mis en lumière l’importance du sport non seulement comme vecteur de cohésion sociale, mais également comme levier économique.

« Le sport doit transcender les terrains pour devenir un pilier de développement durable », a-t-elle déclaré tout en soulignant la nécessité d’une gouvernance moderne et d’une professionnalisation accrue du secteur sportif.

Un des points forts de sa déclaration a été la lutte contre le dopage, qu’elle a qualifiée de « menace pour l’intégrité sportive ». Elle a appelé les nations africaines à s’unir pour atteindre un objectif audacieux : « Zéro cas de dopage » sur le continent. Pour concrétiser cet engagement, elle a proposé des mécanismes de contrôle renforcés et une coopération interrégionale efficace, démontrant ainsi la détermination du Togo à mener cette lutte.

À l’issue de la réunion, les ministres africains ont adopté un Engagement africain pour l’intégrité du sport, visant à établir une gouvernance éthique, transparente et inclusive. Le Togo, fidèle à sa dynamique de transformation, a réaffirmé son rôle de leader dans cette initiative, contribuant à façonner un avenir sportif prometteur pour l’Afrique.

La participation active du Togo à cette conférence représente un pas décisif vers une gouvernance sportive plus éthique et une coopération renforcée entre les pays africains. Banjul marque ainsi le début d’une nouvelle ère pour le sport sur le continent, avec le Togo à l’avant-garde de cette transformation.

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