Dans la grande salle de l’Agora Senghor de Lomé, l’édition 2025 de Miss Bè Kpota a tenu toutes ses promesses, vendredi 7 novembre dernier, grâce au parrain, Togbui Adjikou Lanklivi 1er, chef de quartier d’Adakpamé Kpota-Colas.
L’événement Miss Bè Kpota, porté par GEO Immaculée, vise à valoriser la créativité, l’innovation et à promouvoir l’initiative de la jeune fille. Pour cette deuxième édition, Mlle Boko Yawa Bienvenue a été couronnée. Elle a su convaincre le jury à travers non seulement sa prestation, mais aussi la portée de son projet en faveur des enfants mendiants de la rue.
« Je suis très émue d’être élue, ça n’a pas été facile. J’ai évoqué la situation des enfants démunis, surtout ceux qui sont dans la rue. Personnellement, voir des enfants mendier aux feux tricolores est une chose qui me touche vraiment, et je pense qu’avec l’appui du comité d’organisation de cet événement, nous pouvons trouver une solution à ce phénomène dans notre commune », a-t-elle indiqué.
Au cours de son mandat, Mlle Boko sera accompagnée par le comité d’organisation avec l’appui du parrain pour la mise en œuvre de son projet.
Présent à la soirée, le parrain Togbui Adjikou Lanklivi 1er a été satisfait des différents messages véhiculés par les candidates. Pour lui, il ne s’agit pas seulement de la beauté quand on parle de Miss, mais d’éduquer et de sensibiliser la jeunesse.
« Je suis très fier de la soirée, les candidates ont véhiculé des messages importants pour sensibiliser la jeunesse. Je remercie l’organisation pour cette initiative qui va nous aider à faire changer la mentalité de nos jeunes, surtout les jeunes filles, pour qu’elles soient porteuses de projets innovants pour le développement de notre communauté », a déclaré Togbui Lanklivi 1er.
Le soutien indéfectible du parrain pour la réussite totale de cette deuxième édition de Miss Bè Kpota a été reconnu par le comité d’organisation à travers une remise solennelle d’un trophée, en signe non seulement de son apport personnel à l’événement, mais aussi de son engagement pour la jeunesse d’Adakpamé en tant qu’autorité traditionnelle.