Le chef du quartier d’Adakpamé Kpota-Colas, commune Golfe 1, Togbui Lanklivi Adjikou 1er, est très engagé pour le bien-être de sa communauté avec son concept « Sous le grand baobab ».
Après l’acte 1 dudit concept tenu le 12 octobre dernier, qui a réuni les jeunes de son ressort territorial autour des enjeux du développement local et des défis auxquels ils sont confrontés, Togbui Lanklivi Adjikou 1er a poursuivi son schéma de renforcement du tissu social et de développement communautaire au palais royal, samedi 9 novembre 2024 avec l’acte 2 de « Sous le grand baobab ».
Cette rencontre consécutive a réuni les femmes et les hommes de sa localité ainsi que des experts du ministère de la Sécurité, du ministère de la Justice, des institutions comme le FAIEJ, le FNFI et des acteurs de la lutte contre la salubrité.
Togbui Lanklivi souhaite à travers ce deuxième acte, permettre à sa population d’être mieux outillée sur les questions de l’extrémisme violent et d’avoir des connaissances sur le code pénal afin de se mettre à l’abri d’éventuelles accusations qui pourraient entraîner une incarcération.
Pour Togbui Lanklivi « Aucun(e) citoyen(ne) d’Adakpamé Kpota-Colas ne doit aller en prison. »
La rencontre a également permis aux femmes d’acquérir des connaissances sur le fonctionnement du FAIEJ et les modalités de demande de crédit du FNFI. À ce sujet, Togbui Lanklivi a ouvert une liste afin d’accompagner techniquement toutes ces femmes qui souhaitent bénéficier des crédits du FNFI.
Il faut souligner qu’en initiant « Sous le grand baobab », Togbui Lanklivi Adjikou 1er entend renforcer le dialogue entre lui et sa population pour un développement local inclusif. Il est prévu que cette initiative se tienne chaque mois.
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Romuald