Togo : Rose Kayi Mivedor-Sambiani, une ministre clairvoyante

La ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, Rose Kayi Mivedor-Sambiani vient de sauver les exposants et exposantes ainsi que les visiteurs de la situation qu’ils vivent à la 18e foire internationale de Lomé.

Depuis quelques jours, les cris de déteste des exposants et des visiteurs ne font que retentis sur les réseaux sociaux voire dans les émissions radio à propos du nombre de jours de la foire et le prix des tickets d’entrée.

En effet, l’organisation (CETEF) avait prévue une foire sur une durée de 12 jours contrairement à ce qui se fait dans les années précédentes. Plus loin, les prix d’entrée des tickets ont été revus à la hausse, de lundi à mercredi, 300F et de jeudi à Dimanche, 500F. Alors que dans les années antérieures, l’entrée était conditionnée d’un ticket de 300F de lundi à vendredi et de 500F les samedis et dimanches.

En bonne mère qui a écouté les cris de ses enfants, la ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, Mme Rose Kayi Mivedor-Sambiani s’est vite prononcé ce vendredi 1er décembre 2023 sur la situation à travers un communiquer pour sauver la situation.

Dans un premier temps, elle a prorogé la Foire d’une semaine, c’est-à-dire au lieu que celle-ci fermes ses portes le 3 décembre comme prévu par les organisateurs, la FIL prendra finalement fin le 10 décembre 2023.

« La ministre du commerce, de l’artisanat ‘et de la consommation locale porte à la connaissance des opérateurs économiques, des sponsors et de la population que la 18e Foire Internationale de Lomé est prorogée jusqu’au Dimanche 10 décembre 2023 afin de permettre à toute la population de tirer pleinement profit de cette dynamique et de toutes les opportunités », Mme Rose Kayi Mivedor-Sambiani avant de procéder au réajustement des prix des tickets d’entrée.

« Les prix des tickets d’entrée à la foire sont de 300 FCFA du lundi au vendredi et de 500 FCFA du samedi au dimanche. L’entrée est gratuite pour les enfants de moins de 10 ans accompagnés de leurs parents », indique Rose Kayi Mivedor-Sambiani.

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